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Les libertés sous pression font face à la répression

La LADDH appelle à la libération de fodil Boumala et de tous les détenus d’opinion à travers le territoire national.

La LADDH rappelle que les détentions des personnes pour avoir manifesté et exprimé pacifiquement une opinion sont contraires à la constitution et au pacte international sur les droits civils et politiques ratifié par notre pays.

Aucune personne ne devrait être inquiétée pour avoir exercé ses droits fondamentaux.

L’indépendance du pouvoir judiciaire exige que les juges doivent protéger les libertés, toutes les libertés au regard des textes sus-cites.

La LADDH s’inquiète des arrestations récurrentes observées et signalées à l’occasion de chaque manifestation dans plusieurs wilayas.

La liberté de circuler est entravée notamment pour Alger par des filtres sécuritaires empêchant des citoyens de rejoindre les manifestants pacifiques et causant de nombreux et multiples désagréments pour les citoyens qui veulent rejoindre Alger pour différentes raisons.

La LADDH appelle aussi au respect des libertés d’organisation, de réunion et d’expression pluraliste notamment dans les médias lourds.

Alger le 29 février 2020.
Le président de la LADDH
Maître Nourredine Benissad.