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Ouverture du local conjoint LADDH et SNAPAP d’ Oran

Une cérémonie simple et sympathique a eu lieu mercredi soir au tout nouveau local de la ligue Algérienne de défense de droits de l’homme (LADDH) conjointement ouvert avec le SNAPAP, au 53 la rue Larbi Ben M’Hidi.

Une cérémonie ayant regroupé de nombreux « amis « , des militants syndicaux, militants des droits de l’homme, sympathisants, migrants à Oran , associations…ainsi que des représentants de formations politiques.

Ce nouveau local a été baptisé en quelque sorte « la maison de la liberté » comme le déclarera le responsable de la LADDH à Oran Chouicha Kaddour lors d’une brève allocution à cette occasion. Ce dernier rappellera le long et difficile parcours pour maintenir ouvert un bureau local de la LADDH à Oran, avec la fermeture par la police du premier siège avec la complicité du wali de l’époque. Mais pour l’intervenant ce nouveau local plus grand est à l’image des ambitions et des revendications plus grandes également pour tous les Algériens et les présents.

Rappelant encore la date du 12 Février 2010 date de la première grande marche tenue à Oran à l’appel de la CNCD-Oran a marqué un tournant « car les gens se sont rendue compte qu’on ne peut pas continuer à se lamenter et se désespérer il faut continuer à militer et nous deviendrons de plus en plus nombreux et nous continuerons ».

Salim Mechri le représentant du SNAPAP à Oran a également déclarer que « le combat syndical était également un combat pour les droits de l’homme, pour la construction d’un Etat de Droit en Algérie « et qu’en cela il fallait aller vers un regroupement de tous les militants syndicaux, des droits de l’homme pour construire la démocratie. Il évoquera à son tour la date du 12 Février 2010 qui a permis de faire annuler l’état d’urgence même si dans la réalité les entraves à toutes expressions et combats pacifique pour les libertés en Algérie était toujours présentes.

SAMIR HASSANI/ JCA